Play with life - THE SIMS

Messages : 112 Date d'inscription : 13/09/2009

i like to make a frienships bracelets

Pas d'eau chaude, non mais il est sérieux comment ça il peut me dire que j'aurais pas d'eau chaude avant demain ! Il veut que je le bouffe ou quoi ce plombier de pacotille. Licence, ouai mon cul aussi c'est de la licence. Pffff si j'en voulais une moi aussi j'aurais pu acheter un kinder surprise et surprise une licence, pffff merdeux va ! Bon allez Judas calme toi tu dois faire comme si ce n'était pas grave et le remercier. « Je vous remercie d'être venue ce soir et j'ose espérer vous revoir demain. » Ce qu'il peut être con ! Comment ose-t-il croire à ma fausse gentillesse. Bon j’avoue je suis plutôt gentille comme fille mais bon faut pas pousser le bouchon loin aussi. Je ne sais vraiment pas ce qu'il se passe en ce moment mais je suis complètement à l'ouest. C'est même pas l'ouest, je perds totalement et complètement le contrôle de ma vie. Dans mes pensées, je n'entendis même pas la porte de la maison s'ouvrir alors en l'entendant se claquer je ne pu m'empêcher de prendre la première chose se trouvant dans mon alentour tout en prenant soins d'éteindre la lumière dans la pièce où je me trouvais. Les pas s'approchait tout doucement, la lumière s'alluma. « Haaaaaaaaaaaaaa !!!! » Sans m'en rendre compte j'avais frapper sans crier gare mon "agresseur" présumer à l'aide d'une vieille lampe raton laveur. Le laissant tomber par terre je me rendus compte que "l'agresseur" n'était autre que Rafaelle. « Non mais t'es folle ou quoi Judas ? Et puis tu croyais sérieusement faire quoi avec ce machin tout laid ! » Rafaelle était surprise mais pas en colère, elle avait envie de rire ça se voyait sur son visage mais la connaissant elle prenait un malin plaisir à me voir me ridiculiser de cette manière. « Bah t'aurais pu dire que c'était toi aussi, moi je flippais que se soit l'autre plombier là... »

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i like to make a frienships bracelets

En retard comme toujours, j’appuyais sur l’accélérateur de la voiture, ne pensant à rien d’autre que ce sentiment de honte que j’éprouvais maintenant depuis quelques jours.

Pas d'eau chaude, non mais il est sérieux comment ça il peut me dire que j'aurais pas d'eau chaude avant demain ! Il veut que je le bouffe ou quoi ce plombier de pacotille. Licence, ouai mon cul aussi c'est de la licence. Pffff si j'en voulais une moi aussi j'aurais pu acheter un kinder surprise et surprise une licence, pffff merdeux va ! Bon allez Judas calme toi tu dois faire comme si ce n'était pas grave et le remercier. « Je vous remercie d'être venue ce soir et j'ose espérer vous revoir demain. » Ce qu'il peut être con ! Comment ose-t-il croire à ma fausse gentillesse. Bon j’avoue je suis plutôt gentille comme fille mais bon faut pas pousser le bouchon loin aussi. Je ne sais vraiment pas ce qu'il se passe en ce moment mais je suis complètement à l'ouest. C'est même pas l'ouest, je perds totalement et complètement le contrôle de ma vie. Dans mes pensées, je n'entendis même pas la porte de la maison s'ouvrir alors en l'entendant se claquer je ne pu m'empêcher de prendre la première chose se trouvant dans mon alentour tout en prenant soins d'éteindre la lumière dans la pièce où je me trouvais. Les pas s'approchait tout doucement, la lumière s'alluma. « Haaaaaaaaaaaaaa !!!! » Sans m'en rendre compte j'avais frapper sans crier gare mon "agresseur" présumer à l'aide d'une vieille lampe raton laveur. Le laissant tomber par terre je me rendus compte que "l'agresseur" n'était autre que Rafaelle. « Non mais t'es folle ou quoi Judas ? Et puis tu croyais sérieusement faire quoi avec ce machin tout laid ! » Rafaelle était surprise mais pas en colère, elle avait envie de rire ça se voyait sur son visage mais la connaissant elle prenait un malin plaisir à me voir me ridiculiser de cette manière. « Bah t'aurais pu dire que c'était toi aussi, moi je flippais que se soit l'autre plombier là... »

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i need a doctor to bring me back to life

Si je voulais être chirurgien, médecin c’était avant tout une manière d’être proche de mon père puis c’est devenu un amour incontestable, une passion ou une drogue tout dépend de la personne. Sauver des gens, faire des recherches pour sauver ceux qui ne peuvent pas l’être mais comme on dit il y a toujours un mais. Et ce mais c’est la mort. Ca va faire presque un an et demi que je suis interne et jusqu’à maintenant dieu m’a protégé de la mort. Et voilà qu’il souhaite que je vive mon premier désastre, que je perde ma foi en ce métier. Je n’aurais peut-être jamais ressenti cela si il n’y avait pas eu madame Mac Hamon. Elisabet comme je l’appelais maintenant. Il y a quelques semaines, nous lui avons découvert une leucémie, seule, son monde s’est écroulé. Et d’une part le miens aussi car son cancer ne présageait rien de bon pour son avenir.

Le jour où j’ai découvert ce que l’on m’a tant cacher pendant des années, je ne sais pas pourquoi je me suis réfugié dans cette hôpital et plus particulièrement dans la chambre d’Elisabeth. Pour la première fois, je découvrais une personne et non une patiente et dieu seul sait que l’on me reprochait cette froideur. Oui j’étais comme tout les autres à la recherche du meilleur cas sans savoir si cet être humain en face de moi avait un passé, un présent et un futur. Pourtant cette nuit là je me suis permise d’être proche de ma patiente. Cette nuit là j’ai pleuré dans ses bras comme si c’était ma mère, je l’ai écouté me parler, me raconter sa vie. J ‘ai découvert qu’elle avait un fils mais qu’elle n’avait pas voulu le prévenir et elle m’a demandé de ne pas le faire ce que j’ai respecté jusqu’à hier soir.

flashback
Aujourd’hui j’ai du passer toute ma journée à l’université car j’avais cours mais je ressentais le besoins de voir Elisabeth, de voir qu’elle allait bien. Je suis donc partie à l’hôpital mais en tant que civile ayant apporter avec moi ‘Aux bonheur des dames’ de Victor Hugo auteur français qu’elle aimait tant. Arriver dans la chambre je ne m’attendais pas à la voir dans un état si faible, si faible que son cœur s’était arrêter l’espace d’un instant. Un cœur que je réussi à réanimer pour la laisser auprès de mon mentor. Dans ma tête je savais que ce dont elle avait besoins ce n’était pas de moi mais de son fils. Ayant fait quelques recherches lorsqu’elle m’a parler de lui pour la première fois, j’avais garder son numéro de téléphone enregistrer dans mon portable. « Allo ? » « Monsieur Mac Hamon, ici le docteur Lencini. C’est à propos de votre mère… » « … » « Monsieur, ne vous inquiétez pas elle est toujours en vie mais j’ai besoins que vous veniez le plus rapidement possible à l’hôpital de Montsimpa. Je vous expliquerai tout sur place. » Je n’avais même pas fini qu’il avait déjà raccrocher. Sûrement que si j’avais eu une mère comme lui, j’aurais réagi de la même manière.

fin flashback
Elisabeth avait fini par se réveiller et était à présent entrain de se reposer. J’avais passé toute la nuit à veiller auprès d’elle. Etant de service j’avais revêtu ma blouse et était partie faire le tour des patients. L’heure du déjeuner venue, je retourna dans la chambre d’Elisabeth m’assit un moment jusqu’à m’endormir. En sursaut, je fus réveillé par un jeune homme rentrant en trombe dans la chambre qui ne remarqua pas ma présence. Au vue de son comportement, j’en déduisais que c’était le fils d’Elisabeth. Lorsqu’il remarqua enfin ma présence, il paniqua encore plus que quand il était arrivé. « Heuuuh .... Elle ? ... Comment elle ... va ? ... » Pour l’apaiser, je pu que lui réprimer un sourire. « Mr Mac Hamon, je me présente je suis le docteur Lencini, c’est moi qui vous est appeler hier soir. » M’arrêtant un moment pour réfléchir je repris. « Voulez-vous bien continuer cette conversation ailleurs car j’aimerai que votre se repose encore un peu s’il-vous-plaît ? »

Messages : 112 Date d'inscription : 13/09/2009

leave me out with the waste.

En retard comme toujours, j'appuyais sur l'accélérateur de la voiture, ne pensant à rien d'autre que ce sentiment de honte que j'éprouvais depuis quelques jours. Un sentiment qui ne me quittait plus, et qui m'envahissait plus que je ne le voulais. Par amour pour cet homme, Logan, qui m'avait insufflé ce sentiment, je ne vivais plus, je n'étais plus qu'un pauvre déchet qui voulait juste tomber dans l'abysse de l'enfer. Prise de fatigue mes yeux somnolèrent que le temps d'une infime seconde, quand un klaxon me fit sursauter. Ce sentiment qui m'envahissait à petit feu aurait pu me coûter la vie ou pire ôter la vie d'un innocent.

Quelques minutes plus tard me voici devant le lieu de rendez-vous, ma voiture rangée sur le côté. Et me voilà les larmes aux yeux défilant de la plus grosse à la plus brillante, des chutes du Niagara qui ne voulait pas s'arrêter qui ne demandait qu'à s'enfuir. Qu'avais-je fait pour mériter pareille trahison ? Moi qui me suis toujours comporté de manière convenable, toujours à aider mon prochain. Pourquoi l'homme que je voyais comme l'homme de ma vie avait t-il briser ce cœur déjà si fragile ? Je n'avais aucune de ses réponses et c'est cela qui me déchirait le plus, le fait de ne pas savoir. Reprenant mes esprits, j'essuyais mes larmes et soufflais comme pour éjecter toute ma souffrance. Du moins pendant quelques minutes. Devant mon rétroviseur, je me voyais les yeux bouffis comme si je n'avais jamais cessé de pleurer accompagnés de cernes du à la fatigue accumulée depuis ma rupture avec Logan. Je ne prenais même plus la peine de me reposer. Oui, la journée je zigzaguais entre l'école et l'hôpital et comme si ça ne suffisait pas, le soir j'effectuais mon service de nuit. Un service de nuit que j'avais demandé pour fuir ce lit, pour fuir mes souvenirs avec lui. Réalisant une dernière retouche, je sortais de la voiture et j’entrais dans l'enseigne de mariage, ma robe sous le bras. « Veuillez m'excuser pour le retard, mon dernier patient à prit plus de temps que prévue. Enfin vous savez ce que c'est de vouloir être la meilleure. » Dis-je avec un sourire à l'organisatrice de mariage où plutôt à celle qui allez annuler ce mariage. « Je vous en prie mademoiselle Lencini, votre fiancé est arrivé il n'y a pas si longtemps que ça. » Fiancé ? Me retournant je vis Logan assis sur le siège se trouvant tout juste derrière moi. « Installez-vous mademoiselle, je reviens dans quelques instants. » Mes yeux n'avaient pas quitté un seul instant ceux de Logan, j'étais tout simplement figée, mon corps tremblait d'inquiétude tandis que mon cœur se mourrait encore un peu plus. « Qu'est ce que tu fais là ? Je t'avais dit que j'allais m'en occuper toute seule. » d'une voix froide et tremblotante. J'éprouvais de la colère et pourtant le voir devant moi raviva tout ses beaux moments passés avec lui mais… aussi les plus douloureux comme notre rupture. Depuis ce jour mon monde s'écroulait. Je perdais petit à petit tout ses êtres qui comptaient pour moi. D'abord mon père, ma mère, mon vrai père et enfin celui qui me permettait de vivre auparavant, Logan. M'asseyant aux côtés de mon ex fiancé, je lui demandais. « Je peux savoir pourquoi tu ne m'as toujours pas renvoyer mes affaires ? » En vérité, je n'en avais que faire de ses affaires, tout ce que je voulais vérifier c'était juste si il avait réellement tiré un trait sur notre passé. Baissant la tête, le cœur battant plus vite que la normale, je regardais le bureau de l'organisatrice de mariage d'un regard vide et me tut.

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sometimes when i close my eyes i pretend i'm alright.

En retard comme toujours, j'appuyais sur l'accélérateur de la voiture, ne pensant à rien d'autre que ce sentiment de honte que j'éprouvais depuis quelques jours. Un sentiment qui ne me quittait plus, et qui m'envahissait plus que je ne le voulais. Par amour pour cet homme, Logan, qui m'avait insufflé ce sentiment, je ne vivais plus, je n'étais plus qu'un pauvre déchet qui voulait juste tomber dans l'abysse de l'enfer. Prise de fatigue mes yeux somnolèrent que le temps d'une infime seconde, quand un klaxon me fit sursauter. Ce sentiment qui m'envahissait à petit feu aurait pu me coûter la vie ou pire ôter la vie d'un innocent.

Quelques minutes plus tard me voici devant le lieu de rendez-vous, ma voiture rangée sur le côté. Et me voilà les larmes aux yeux défilant de la plus grosse à la plus brillante, des chutes du Niagara qui ne voulait pas s'arrêter qui ne demandait qu'à s'enfuir. Qu'avais-je fait pour mériter pareille trahison ? Moi qui me suis toujours comporté de manière convenable, toujours à aider mon prochain. Pourquoi l'homme que je voyais comme l'homme de ma vie avait t-il briser ce cœur déjà si fragile ? Je n'avais aucune de ses réponses et c'est cela qui me déchirait le plus, le fait de ne pas savoir. Reprenant mes esprits, j'essuyais mes larmes et soufflais comme pour éjecter toute ma souffrance. Du moins pendant quelques minutes. Devant mon rétroviseur, je me voyais les yeux bouffis comme si je n'avais jamais cessé de pleurer accompagnés de cernes du à la fatigue accumulée depuis ma rupture avec Logan. Je ne prenais même plus la peine de me reposer. Oui, la journée je zigzaguais entre l'école et l'hôpital et comme si ça ne suffisait pas, le soir j'effectuais mon service de nuit. Un service de nuit que j'avais demandé pour fuir ce lit, pour fuir mes souvenirs avec lui. Réalisant une dernière retouche, je sortais de la voiture et j’entrais dans l'enseigne de mariage, ma robe sous le bras. « Veuillez m'excuser pour le retard, mon dernier patient à prit plus de temps que prévue. Enfin vous savez ce que c'est de vouloir être la meilleure. » Dis-je avec un sourire à l'organisatrice de mariage où plutôt à celle qui allez annuler ce mariage. « Je vous en prie mademoiselle Lencini, votre fiancé est arrivé il n'y a pas si longtemps que ça. » Fiancé ? Me retournant je vis Logan assis sur le siège se trouvant tout juste derrière moi. « Installez-vous mademoiselle, je reviens dans quelques instants. » Mes yeux n'avaient pas quitté un seul instant ceux de Logan, j'étais tout simplement figée, mon corps tremblait d'inquiétude tandis que mon cœur se mourrait encore un peu plus. « Qu'est ce que tu fais là ? Je t'avais dit que j'allais m'en occuper toute seule. » d'une voix froide et tremblotante. J'éprouvais de la colère et pourtant le voir devant moi raviva tout ses beaux moments passés avec lui mais… aussi les plus douloureux comme notre rupture. Depuis ce jour mon monde s'écroulait. Je perdais petit à petit tout ses êtres qui comptaient pour moi. D'abord mon père, ma mère, mon vrai père et enfin celui qui me permettait de vivre auparavant, Logan. M'asseyant aux côtés de mon ex fiancé, je lui demandais. « Je peux savoir pourquoi tu ne m'as toujours pas renvoyer mes affaires ? » En vérité, je n'en avais que faire de ses affaires, tout ce que je voulais vérifier c'était juste si il avait réellement tiré un trait sur notre passé. Baissant la tête, le cœur battant plus vite que la normale, je regardais le bureau de l'organisatrice de mariage d'un regard vide et me tut.

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burn in my cage

« Vous nous laissez 5 minutes s'il vous plait .... » « Bien entendu. » lui répondis-je alors qu'il ne faisait déjà plus attention à moi. En ouvrant la porte, je n'avais pu résister a y jeter un dernier regard. Et cette scène était juste un supplice pour moi, j'avais mal pour lui, je souffrais pour Elisabeth qui à son réveil n'aimerait en aucun cas voir son fils si dépourvue. Fermant la porte doucement, je partis me changer dans les vestiaires. Face à se miroir je voyais juste une femme épuiser, ayant l'air abattue. Depuis combien temps n'avais-je pas dormi déjà ? C'est vrai que depuis ma rupture avec Logan, je n'avais cessé de prendre les gardes de nuits.
Ayant fini de me changer, je retournais donc devant la chambre d'Elisabeth pour y retrouver son fils qui m'attendait déjà et me cherchait du regard. « Monsieur Mac Hamon. » Immédiatement il vint auprès de moi. « Je suis désolé, j'en ai profité pour me changer comme j'ai fini mon service. » « Mais... » « Ne vous inquiétez pas je vais rester pour discuter de votre mère avec vous. Allons à la cafétéria si vous le voulez bien. »
Le chemin se fit en silence, lui me suivant pensant sûrement à me tordre le coup tellement il avait besoin de comprendre le pourquoi du comment de l'état de sa mère. Devant la machine à café, j'y insérais quelques pièces afin de lui offrir un café après un si long voyage. « Tenez vous en aurez besoin. »

Assise devant cette table affreusement ronde je ne savais pas par quoi commencer. Pourtant je devais quand même lui dire, il s’agit tout de même de sa mère. Mais par quoi commencer ? Ce n’est pas parce que nous aspirons à être médecin qu’il était chose facile d’annoncer son malheur proche à un être humain. Nous n’étions tout de même pas des sans cœurs, nous aussi éprouvons des sentiments. N'arrivant pas à le regarder dans les yeux, je baissais le regard et commença. « Pardonnez moi de vous avoir fait languir mais c'est que ce n'est pas facile surtout que votre mère m'a fait promettre de ne rien vous dire... » Faisant une courte pause et relevant mon regard, je repris. « Si hier je vous ai appeler c’est parce que votre mère a du se faire opérer dans l’urgence (et que je vous trouvais sexy). J’ai attendu jusqu’à maintenant pour vous l’annoncer car comme je vous l’ai dit, elle ne voulait pas que soyez au courant de ce triste sort dont elle est victime. Cela fait maintenant deux mois qu’elle se bat contre ce virus qu’est la leucémie. »

Messages : 357 Date d'inscription : 02/01/2011

i need a doctor to bring me back to life

Auparavant je serais restée de marbre face à ce genre de réaction que l'on pouvait qualifié d’excessive et pourtant sa réaction était des plus légitimes... Je venais quand même de lui annoncer que sa mère avait failli mourir. Je l'écoutais me crier dessus tout en fixant cette chaise jetée au sol comme si je la voyais pour la première fois. Je serrais les poings, avec l’envie de verser un torrent de larmes. Mon silence n’avait fait que l'énerver encore plus. « Mais dites quelque chose putain ...! C'est vous ? Votre supérieure ? Qui est la conne qui m'a dit que ma mère irait bien un mois à peine avant que je la retrouve shootée aux médocs dans un lit d’hôpital entre la vie et la mort bordel ... QUI ???? » J'avais de plus en plus de mal à contrôler mes émotions et pourtant en tant que futur médecin je le devais ! Non je ne devais pas flancher devant cette détresse, je devais agir comme celle que je voulais être. Sentant des mains se poser sur mon épaule, je relevais le regard et vit mon supérieur qui avait examiné la scène de loin et qui avait voulu intervenir. J'hésitais mais mon amour pour ce métier me rappelait à l'ordre. Je fis signe à mon supérieur qu'il pouvait vaquer à ses occupations et que je pouvais m'occuper de Monsieur Mac Hamon.

Me levant de cette table, je remis la chaise que monsieur Mc Hamon avait jeté, à sa place et je me dirigeais vers la fenêtre sur laquelle il s'y était adosser et m’appuya à ses cotés. « Je... Écoutez. Criez, cherchez un responsable ne vous servira à rien. Aujourd'hui ce qui importe c'est que vous soyez aux côtés d’Elisabeth... » Me rendant compte que je venais de lui montrer un certain attachement envers sa mère, ce que tout bon médecin devait éviter « Pardonnez moi, elle refuse que je l'appelle par son nom. » Ce qui était complètement faux mais ce n'est pas comme si je pouvais lui dire que je restais souvent avec sa mère. « Je disais donc que ce qui importe aujourd'hui c'est vous la souteniez dans cette épreuve difficile car si elle est l'est déjà pour vous alors imaginez comment elle se sent avec tout ses appareils à ses côtés ? Mais si vous tenez tant à le savoir non je ne suis pas la conne, comme vous le dites si bien, qui vous a appeler il y a un mois. » J'étais à la fois énervée mais en même temps j'éprouvais de la compassion. En fait ce qui me mettait hors de moi, c'était que le fils puisse se permettre de proférer des insultes. « Si vous avez d'autres questions, je suis à votre disposition. » Lui-dis je tout de même d'un ton neutre.

Messages : 112 Date d'inscription : 13/09/2009

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i need a doctor to bring me back to life

Auparavant je serais restée de marbre face à ce genre de réaction que l'on pouvait qualifié d’excessive et pourtant sa réaction était des plus légitimes... Je venais quand même de lui annoncer que sa mère avait failli mourir. Je l'écoutais me crier dessus tout en fixant cette chaise jetée au sol comme si je la voyais pour la première fois. Je serrais les poings, avec l’envie de verser un torrent de larmes. Mon silence n’avait fait que l'énerver encore plus. « Mais dites quelque chose putain ...! C'est vous ? Votre supérieure ? Qui est la conne qui m'a dit que ma mère irait bien un mois à peine avant que je la retrouve shootée aux médocs dans un lit d’hôpital entre la vie et la mort bordel ... QUI ???? » J'avais de plus en plus de mal à contrôler mes émotions et pourtant en tant que futur médecin je le devais ! Non je ne devais pas flancher devant cette détresse, je devais agir comme celle que je voulais être. Sentant des mains se poser sur mon épaule, je relevais le regard et vit mon supérieur qui avait examiné la scène de loin et qui avait voulu intervenir. J'hésitais mais mon amour pour ce métier me rappelait à l'ordre. Je fis signe à mon supérieur qu'il pouvait vaquer à ses occupations et que je pouvais m'occuper de Monsieur Mac Hamon.

Me levant de cette table, je remis la chaise que monsieur Mc Hamon avait jeté, à sa place et je me dirigeais vers la fenêtre sur laquelle il s'y était adosser et m’appuya à ses cotés. « Je... Écoutez. Criez, cherchez un responsable ne vous servira à rien. Aujourd'hui ce qui importe c'est que vous soyez aux côtés d’Elisabeth... » Me rendant compte que je venais de lui montrer un certain attachement envers sa mère, ce que tout bon médecin devait éviter « Pardonnez moi, elle refuse que je l'appelle par son nom. » Ce qui était complètement faux mais ce n'est pas comme si je pouvais lui dire que je restais souvent avec sa mère. « Je disais donc que ce qui importe aujourd'hui c'est vous la souteniez dans cette épreuve difficile car si elle est l'est déjà pour vous alors imaginez comment elle se sent avec tout ses appareils à ses côtés ? Mais si vous tenez tant à le savoir non je ne suis pas la conne, comme vous le dites si bien, qui vous a appeler il y a un mois. » J'étais à la fois énervée mais en même temps j'éprouvais de la compassion. En fait ce qui me mettait hors de moi, c'était que le fils puisse se permettre de proférer des insultes. « Si vous avez d'autres questions, je suis à votre disposition. » Lui-dis je tout de même d'un ton neutre.

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vantini can build a nation.

✄ what do you want seth ? to drink and fun ! what do you need sucker ? to suck all night ! we love you seth, i wanna suck you too. all the sucker looking after me can suck my dick. when i was in montsimpa school, i sucked brocolis everyday, i killed every ass ! damn sucker, you’re a crazy sucker so shut up the fuck up and suck my brocoli.

« Et si tu rentrais avec moi à l’intérieure ? » Proposais une Judas complètement bourrée à un inconnu qui l’avait soigneusement raccompagné chez elle. Celui-ci voulant profiter de la situation tenta de l’embrasser, et ne s’attendait pas à ce que celle-ci l’esquive avec un fou rire. « Pardon… Non mais désolé, c’est que tu as vraiment une haleine de camembert ! » Elle ne voulait pas s’arrêter et tout l’alcool circulant dans son sang ne l’aidait pas soit elle allait faire avec. Sans facilité, la jeune femme brune réussit à retrouver ses clés dans son sac, elle se retourna pour demande de l’aide à l’inconnu mais il était déjà parti. Elle l’avait vexé et n’en avait strictement rien à faire, ce n’était pas sa faute si il avait oublié de faire un tour dans le monde des white colgate. Bien décidée à rentrer dans sa maison, Judas essaya l’espace d’un instant ses esprits afin de pouvoir mettre les clés dans la serrure, bien entendu avant elle devait trouver la bonne clé et vu l’état dans lequel elle se trouvait sa cause était loin d’être gagner.

Spoiler:

we are a family, dirty, rich and beautiful

pv quentin vantini

(#93A299)

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«Et t’as eu peur qu’il vienne te violer, c’est ça ? Mon pauvre petit chou.» Déjà que je me sentais toute bête il fallait que mademoiselle en rajoute une couche. «Tu aurais vu sa tête, tu aurais imaginer pire que moi.» Me défendis-je d'un air de boudeuse. Se moquant de nouveau de moi, Rafaëlle m'arrachait ma lampe des mains et donnait un léger coup sur le bras avant d'ajouter. «Je suis certaine qu’avec lui tu n’aurais rien risqué par contre avec moi, c’est une autre histoire..» Aucun doute c'était bien ma meilleure amie qui se trouvait dans ce corps. Tout en riant je répondis. «Ça tombe bien je suis de nouveau sur le marché.» Je sais que elle m'en voudrait de lui annoncer cela de cette manière, mais je préférais en rire que d'en pleurer. J'avais assez donner dans les larmes et cela signifiait juste qu'un nouveau chapitre s'ouvrait à moi. «Bon magueule j'ai enfin réussie à avoir toute ton attention, alors vu que tu ressembles à un fil de fer je présume que Tristan ne te nourrit pas alors ce soir c'est bouffe à gogo ! On commence gentiment avec un subway puis en enchaîne avec le mcdo et on fini avec le kfc. En cas de petit creux j'ai prévue des tas de cochonnerie.» lui dis-je avec un large sourire face à son regard incrédule. «Fais pas ta mijoré tu sais que quand j'ai faim je fais pas les choses à moitié.» Jje lui tirais la langue tout en me dirigeant vers la cuisine. Elle me suivait et la connaissant c'était plus par curiosité que par envie de manger. Oui depuis que je lui avais annoncer quelques minutes plutôt que ma relation de deux ans et demi avec Lyiam était fini, elle n'avait cesser d'avoir ce regard étonner sur moi. Il est vrai que elle s'entendait pas mal avec lui, limite si c'était son frère. Mais je n'avais pas réellement envie d'en parler car si je lui expliquais les raisons de notre séparation, elle lui en voudrait tellement qu'elle serait prête à faire de sa tête un feu de bois. Et je ne voulais surtout pas gâcher leurs amitié après tout c'est moi qui avait un problème avec lui et non elle.

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« Pour info, Tristan me satisfait très bien. » « Roh mais t'es nulle ! Si tu te les fais tous qui vais-je bien pouvoir me faire ! » lui dis-je d'une moue boudeuse. Puis je remarquais son sourire sur ses lèvres, encore une fois, dès que l'on parlait de Tristan, elle avait l'air heureuse. Elle réussit à m'arracher un sourire, qui aurait pu croire que mon célibat lui apporterait l'amour. Enfin du moins un sentiment y ressemblant car la connaissant, elle n'est même pas au courant de ce que elle ressent. « Explique moi ce sourire rien qu'en entendant le nom de Tristan. Ça ne te ressemble pas le moins du monde, sauf quand tu parles de moi, bien sûr. » Je n'ai pu m'empêcher de la taquiner, j'étais juste obligée comme à chaque fois que je la voyais. Ce qui me faisait rire c'est surtout que vue de l'extérieure on nous prenait souvent pour un couple, ce qui n'était pas vrai mais pourtant on ne pouvait nier le fait que notre amour était bien plus fort que celui qu'on éprouvait pour nos opposés masculin. Je me rappelle encore que Logan n'aimait pas être en la présence de Rafaëlle et moi en même temps, sûrement devait-il être jaloux de notre amitié. Penser à Logan me rendait triste cependant, quand le mot Vodka fut sorti de la bouche de mon singe préféré, je ne pus m'empêcher de réprimer un sourire, et surtout de lui arracher la bouteille. « Alors, on trinque ? » lui demanda Rafaëlle, également une bouteille à la main. Levant ma bouteille. « À cette pétasse blonde qui a coucher avec mon fiancé ! »

Messages : 112 Date d'inscription : 13/09/2009

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« Tu sais très bien que tu es la seule qui comble mon cœur, ces hommes ne sont qu’un moment de m’amuser. » Ce que je pouvais aimer quand elle me disait ça, c’est limite si elle me tendait un double décimètre et que je me mettais à avoir un orgasme. Non plus sérieusement j’aimais cette complicité que l’on éprouvait l’une envers l’autre, c’est comme si dans une vie antérieure nous avions été un couple. « Et si au lieu d’annuler le mariage, on changeait juste le nom du marié sur les cartons d’invitation ? » lui dis-je avec un fou rire, me moquant moi même de ma rupture avec Logan.
C’est fou ce que Tristan pouvait avoir comme effet sur sa personne, je suis sûr que ce qui l’avait plus intéresser dans ma phrase c’était encore l’entente de son prénom. Son petit rire que j’aimais temps me faisait plaisir à entendre car au fond de moi j’espérais qu’elle puisse se stabiliser un jour, qu’elle connaisse l’amour que j’ai pu connaître avec Logan même si ça c’était mal terminer, ce sont des moments que je ne pourrais jamais oublier. « Tu sais bien que je n’ai jamais été sentimentale. Et puis tu as du rêvé, j’ai souris parce que je venais de t’imaginer toute nue. » Un sourire s’affichait sur mon visage, j’aimais ce petit jeu taquin dans lequel nous baignons elle et moi. Si taquin que même nous même n’arrivions pas à différencier notre amitié de l’amour d’un couple et dont nous aimions nous en amuser. On aurait pu penser que cela pourrait choquer mais bien au contraire nous voir toutes les deux ensembles avaient plus tendances à exciter une pièce qu’à les refroidir.
Dans la cuisine, trinquons en l’honneur de la briseuse de mon ménage, je buvais mon verre de vodka d’un coup sec, ce qui n’était pas tant le cas de Rafaelle qui manqua de tout recracher. Honteuse, Rafaelle baissa les yeux. « Ecoute.. » lui dit-elle d’un air de gêne tandis que le fou rire n’attendait qu’un mot pour s’emparer de moi. « Il faut que je t’avoue … cette pétasse en question va le regretter. » Quelqu’un de normal aurait du pleurer mais non quand j’étais avec Rafaelle, je n’arrivais pas à pleurer c’était aussi simple alors quand elle me disait que elle allait frapper cette catin de blonde je ne pouvais m’empêcher de rire. « Une autre petite douceur ? » murmura-elle en parlant de la vodka. « Et tu as mit autant de suspens pour me dire tout ça… » Lui dis-je tout en roulant des yeux. « Puis merde tu crois vraiment t’auras la force de la cogner c’te catin ! T’as vu comment t’es frêles comme une carpe. Non sérieux si tu lui fous un bleu je te respecte à vie. » Je ne pouvais m’empêcher de la taquiner comme à mon habitude, non mais c’est vrai Rafaelle était loin d’être le modèle d’une femme ayant la capacité de donner des coups, au contraire quand elle avait des problèmes je devais toujours être dans les parages pour m’assurer que on ne lui fasse aucun mal. C’est que mes cours de défenses m’avaient pas mal aidé. Plus sérieuse, je regardais Rafaelle avec un sourire aux lèvres. « Pour toi se sera sûrement rien mais merci. Merci de ne pas me faire penser à Logan, merci de ne pas me faire sentir comme une rater, alors que j’ai l’impression d’avoir rater pratiquement quatre ans de ma vie avec lui. Simplement merci d’être avec moi. » Lui dis-je en buvant dans la bouteille même.

Messages : 112 Date d'inscription : 13/09/2009

Fatiguer, épuiser, cette journée j'avais frôlé l'évanouissement. Ma supérieure et amie Dylan voulait que j'arrête d'enchaîner les soirées de garde tout comme la journée elle ne voulait pas me voir. J'avais riposté trouvant cela injuste et surtout que c'était à moi de décider ce que je préférais, en vain elle m'avait congédié pendant deux jours. J'avais tout de même pu finir ma journée de service tranquillement même si je devais rester loin des salles d'opération. En soit, Dylan avait raison, à force de ne pas dormir je pouvais mettre en danger la vie des patients de l'hôpital. Pourtant, même congédier je n'étais pas forcément obliger de respecter ses ordres du moins je n'étais pas obligée de dormir. Oui depuis ma rupture avec Logan, je n'arrivais plus à dormir, il faut dire que je n'avais pas l'habitude d'être seule dans un lit et tout ne faisait que s'enchaîner, Logan, ma mère, mon père, les collègues, il ne manquerait plus que je perde la médecine et Rafaelle pour que j'en finisse avec Montsimpa.
Histoire de m'aérer l'esprit, je décidais d'aller au bar, boire pour tout oublier le temps d'une nuit. Oublier ce qui faisait mal, mais qui était si réel, si au moins je devais ressembler à une loque autant le faire dans les règles. Devant le bar, je regardais les gens aller et venir, titubant où sortant par pair de deux, au moins il y en avait qui s'amuser. Finissant par me décider, je posa pied dans le bar et alla m'asseoir au niveau du comptoir. « Une piña colada sans la piña s'il vous plaît. » demandais-je à la serveuse blonde en face de moi. Oui ça pouvait paraître idiot, mais je préférais demander un verre de rhum sec de cette manière, j'avais toujours trouvé cela plus classe et plus dramatique à souhait.